Évènement Semaine du cidre du Québec
La semaine du cidre du Québec revient à partir du 2 mai pour une huitième édition qui vient mettre en valeur les artisans du cidre québécois, de plus en plus nombreux et de plus en plus talentueux.
La semaine du cidre du Québec revient à partir du 2 mai pour une huitième édition qui vient mettre en valeur les artisans du cidre québécois, de plus en plus nombreux et de plus en plus talentueux.
(Chablis) « Il n’y aura pas beaucoup de Chablis cette année » : les violentes averses de grêle tombées mercredi soir sur Chablis (Yonne), vignoble de réputation internationale, ont provoqué des dégâts « très importants », ont témoigné jeudi des viticulteurs à l’AFP.
Des chercheurs de l’Université de Bordeaux s’apprêtent à analyser et à goûter des vins du Québec. Pas que pour le plaisir de la dégustation : ils s’intéressent aux variétés de raisins résistantes aux maladies afin de réduire l’usage de produits chimiques dans le vignoble bordelais. Les cépages cultivés dans la province pourraient devenir une nouvelle option.
(Toulouse) La quasi-totalité du vignoble de Cahors a été décimée la semaine dernière par un épisode de gel tardif, dans un terroir déjà touché en 2023 par le mildiou, a-t-on appris lundi auprès de l’interprofession.
On oublie les règles rigides d’accord. Rouge sur viandes et blanc sur poissons… Et si on aime le poisson et pas le vin blanc ? Certains vins rouges peuvent très bien être servis avec des poissons, et des vins blancs avec des viandes. En voici trois très polyvalents qui passeront avec bonheur du poisson à la viande aux légumes. De toute façon, le goût est beaucoup trop individuel pour arriver à des harmonies parfaites pour tous. Oubliez les conventions et faites-vous plaisir !
(Saint-Émilion) Bougies, ballots de pailles enflammés ou éoliennes : des viticulteurs de Saint-Émilion ont activé leurs dispositifs antigel par précaution dans la nuit de lundi à mardi, mais l’épisode de froid a été moins marqué que prévu, comme ailleurs en France.
Vous êtes nombreux à consulter le site de la SAQ pour connaître les taux de sucre et d’alcool des vins. Mais les vins ne sont pas analysés à chaque nouveau millésime ; ces données ne sont donc pas toujours à jour. Pour le vin de Mullineux, on indique 13,5 % d’alcool, et pour celui des Bacchantes, 12,5 % ! De toute façon, cette information est à prendre avec un grain de sel : plus que n’importe quel chiffre, c’est l’équilibre du vin qui compte avant tout !
J’ai souvent indiqué que les bons vins se gardent en général très bien un jour ou deux une fois ouverts. Pour ce faire, aucun besoin de gadgets, de pompes, de gaz et compagnie… Replacez simplement le bouchon dans la bouteille et placez-la au frigo, rouge comme blanc. Ça vous demandera seulement de sortir le rouge plus tôt pour le ramener à la bonne température. C’est la méthode la plus simple et la plus efficace !
La série « Tendances à découvrir » des Ateliers SAQ par ITHQ est idéale pour ceux et celles qui souhaitent en apprendre (un peu) plus sur le vin, dans un contexte décontracté.
Il n’est pas toujours facile de trouver ses repères sur une carte des vins, peu importe son niveau de connaissances. C’est encore plus vrai lorsque celle-ci est composée majoritairement de vins d’auteur sans appellation, décorés d’étiquettes qui donnent peu d’indices sur le contenu de la bouteille. Voici quelques conseils pour vous aider à trouver pinard à votre gosier !
Un vigneron pourrait paraître déçu si vous lui dites que son vin a le goût du cépage duquel il est tiré – ceux qui veulent élaborer de vrais vins de terroir préfèrent que ceux-ci reflètent leur lieu d’origine. Le sauvignon blanc et le viognier de cette semaine n’ont pas le caractère convenu, parfois caricatural, de leur cépage. Ils offrent plutôt une expression singulière et unique, marquée par leur environnement. Tout comme le vin rouge grec, même s’il est difficile à comparer vu la rareté du cépage !
Le vin nature est en vogue. Un peu trop au goût de certains ! D’un côté, il y a ceux qui ont succombé à ses promesses non interventionnistes ; de l’autre, ceux qui préfèrent les vins faits dans les règles de l’art… Mais est-ce que l’un et l’autre s’opposent réellement ? Discussion franche entre Steve Beauséjour, amoureux des vins « naturels », et Yves Boisvert… qui n’en est pas si sûr !
(Tokyo) Le whisky japonais, à la réputation mondiale croissante, est protégé depuis lundi dans l’archipel par de nouvelles règles, censées dissuader des producteurs étrangers d’utiliser cette appellation.
Du chocolat, la femme d’affaires Juliette Brun en mange. Et depuis quelques semaines, elle en boit. Sous la marque Juliette & Chocolat, elle vient de commercialiser une liqueur aromatisée aux « Brownies et Smore’s ».
Trois suggestions en ce long week-end pour accompagner vos repas de Pâques. Un vin effervescent très polyvalent à table qui saura démarrer tout repas sur une note festive. Un pinot noir/gamay de Loire qui charme par son parfum et sa fraîcheur. Et un rouge plus en chair, qui évoque la garrigue et fera un malheur avec l’agneau.
Le meilleur rapport qualité-prix ne signifie pas toujours le produit le moins coûteux. Ainsi, les vins moins chers sont souvent issus de très gros domaines à la production industrialisée, propices aux économies d’échelle. Des vins qui peuvent être bien faits, mais souvent très convenus. De très bonnes affaires se trouvent chez de petits vignerons artisans qui travaillent de façon admirable dans des régions moins prestigieuses ou longtemps négligées. Voici trois suggestions offrant un très bon rapport qualité-prix.